20.00

Un manque à vivre

Le déni d’abus est aussi discret qu’un déni de grossesse.
Il dure juste plus longtemps.
Un jour pourtant, on accouche de son enfance.
Celle de Laure est toxique, elle pue la
manipulation perverse. Une odeur si familière,
qu’elle passe longtemps inaperçue.
Le sujet est grave, mais ce livre plein d’espoir.
Car du plus loin qu’on parte, on revient toujours à soi.
A vous…
Elle était comment votre enfance ?
Normale. Vraiment ? En êtes-vous sûr ?
Impossibilités d’adulte et douleurs de vivre sont souvent
des appels à y regarder de plus près.
Et si ce roman était l’occasion de le faire ?